Posted on: 25 avril 2020 Posted by: andinos Comments: 0
vraies pierres

À part la vraie valeur des pierres issue de sa genèse naturelle, avoir une pierre semi-précieuse peut apparemment réguler le fonctionnement du corps humain.

Ces vertus sont toutefois associées à ses éléments bruts non modifiés. Dans tous les cas, il faut alors savoir distinguer les vraies semi-pierres précieuses des fausses. Voici l’ultime guide pour l’identification des pierres semi-précieuses.

Qu’en est-il des pierres contrefaites ou synthétiques ?

Les pierres vraies n’ont rien à se justifier ou du moins leurs genèses révèlent une histoire géologique complexe que l’on ne saura résumer. Mais les fausse en sont regorgées d’explication. En effet, on distingue des pierres dont la couleur a été ravivée par des techniques de chauffage ou des simples teintures d’où le nom « pierres naturelles teintées ».

Les « pierres de synthèses » n’ont aucun lien même avec la géologie ni la gemmologie. Ce sont des pierres fabriquées à partir des composants de laboratoires. Parfois ces composants sont des matériaux les plus bon marché n’ayant aucune valeur sinon la synthèse peut aussi se faire avec des vraies pierres moins belles.

À première vue, si le vendeur n’explique pas leur nature, la vraie et la fausse se ressemblent. Néamoins, vu la cherté de la pierre, on est en bon droit de leur demander une certification.

La contrefaçon est plus fréquente sur quel type de pierre semi-précieuse ?

Comme stipulé dans les meilleurs types de pierres semi-précieuses, les pierres les plus rares sont les plus chères. Là, il est alors facile de comprendre le recours à la contrefaçon, alors ci-joint ces types :

  • L’agate naturelle a une teinte modérée de sa couleur notamment le rouge, le bleu, le violet et le rose. Par contre celle contrefaite est plus vive ;
  • La vraie Turqouise, de son côté est résistante mieux à la chaleur. Ainsi pour vérifier son authenticité, un coup de chalumeau ou n’importe quelle source de flamme fondera celle contrefaite. Une fausse turquoise est souvent un composant de magnésite teintée, de Howlite ou de plastique ;
  • Le vrai jade est tenace aux rayures notamment à celle du métal et du verre. Le son généré lorsqu’on frappe deux jades est cristallin ;
  • L’opaline ou Opale est la plus chère des pierres semi-précieuses. À des coûts moyens ou négociables, il faut se douter et aller la tester. Sinon, il est à noter que l’opale a moins de reflets contrairement à son homologue souvent dérivé du plastique.
  • Les vraies citrines sont très rares, mais pour en fabriquer il faut simplement chauffer de l’améthyste.
  • Le grenat synthétique est constitué d’un gros pourcentage de verre collé sur une lamelle de grenat. La zone de collage présente ainsi des zones de bulles d’air. Une fois plongées dans l’eau, les deux lamelles se décolorent ce qui n’est pas le cas pour un vrai grenat.

Connaitre les origines des pierres semi-précieuses est aussi un atout dans l’identification. Les ventes sont plus rassurantes dans les lieux de la production des pierres. Dans tous les cas, de nombreux laboratoires disposent les techniques et moyens nécessaires pour reconnaitre les vraies, des fausses. Si les tests ne sont pas efficaces en astuce, il faut recourir à des tests avec des appareils de gemmologie.

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